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dimanche 16 décembre 2007

Journée de lundi



Le blocage est temporairement suspendu.

Un barrage filtrant sera probablement installé à l'entrée de l'Université Paul Valéry où des tracts seront distribués. Les étudiants pourront aller en cours. Un point informations sera organisé, soit devant l'amphi A soit à l'entrée de la faculté.

En cas de présence policière nous demandons à l'ensemble de la communauté universitaire de ne pas entrer sur le campus.

Une Assemblée Générale sera organisée Amphi A, en cas de présence policière cette Assemblée Générale se tiendra devant les grilles de l'Université. Cette Assemblée Générale décidera de la suite du mouvement et des modalités d'actions.

Rendez vous demain à 09H30 devant l'Université Paul Valéry.

419 commentaires:

«Les plus anciens   ‹Précédent   401 – 419 sur 419
Anonyme a dit…

Piquets de grève pour demain??? ou moyens plus soft???

Anonyme a dit…

80 personnes vont décider de bloquer les cours?

Et ça c'est légitime???

J'hallucine!

Anonyme a dit…

Bonsoir,
Ca va peut etre interesser personne mais moi je suis:
- favorable à la LRU, en effet, voilà 23ans que l'université n'a pas été réformée et c'est la première fois que l'on propose d'augmenter significativement les moyens financiers...
- pour une implication plus grande des entreprises, faut il rappeler que le but des études est de trouver un métier?
- contre le blocage, acte terroriste qui prive les étudiants honnetes de leurs enseignements

Je voudrais aussi rappeler que quand un gouvernement ne veut pas négocier, il le peut, il a une LEGITIMITE ELECTORALE. Quand on n'a pas de légitimité electorale, on se doit de faire des propositions et non de réclamer une abrogation. C'est le monde à l'envers.

Puis, faut il préciser que dans le LRU il n'a jamais été question de privatisation mais de cohabitation avec les entreprises et qu'il n'a en aucun cas été question de toucher aux frais d'inscription.

Je suis favorable à cette réforme. Au lieu de rejeter toutes les réformes en bloc, regardons ce que nous avons devant nous: une fac qui va mal... Je ne me permets jamais de dire que je suis contre quelque chose si je n'ai rien à proposer à la place.

Quant au blocage, si c'est le seul moyen d'expression des grevistes, cela veut dire que leur message est bien vide et leurs propositions peu réalistes. Quand on a des idées solides, on n'a pas besoin de semer la merde pour les faire entendre.

Je hais cette greve, je la vomis, je l'execre... Vous avez reussi à gacher l'année de gens qui veulent travailler. Bravo. Si vous gachez mon master, je deviendrai CRS.

Je présume que dans la grande démocratie qui anime ce mouvement, mon message ne sera jamais diffusé.

Anonyme a dit…

C'est plus que 80 personnes. Faut arreter les conneries. Il y avait pas mal de monde AU MOMENT DU VOTE. 400 personnes facile. 350 pour je dirai.

Anonyme a dit…

bloqueurs et anti-bloqueurs doivent unir leurs forces contre jm miossec! DEMISSION!!!...il est un fasciste!

Anonyme a dit…

mais arretons de se foutre de la gueule des gens y avait personne ds cette amphi !!!!

Anonyme a dit…

vous avez pensé aux crs demain ? et aux étudiants qui viendront en cours comme aujourd'hui ( même s'il y en avait très peu )

MTP3 a dit…

Petite précision :

3000 tracts ont été diffusés ce matin, les gens ont été mis au courrant qu'il y avait une assemblée générale, des panneaux étaient affichés à l'entrée. Que ceux qui ne sont pas venus à l'AG ne se plaignent pas...
Prochaine AG jeudi 09H

Anonyme a dit…

"C'est plus que 80 personnes. Faut arreter les conneries. Il y avait pas mal de monde AU MOMENT DU VOTE. 400 personnes facile. 350 pour je dirai."

C'est au pifomètre quoi?

Pas de comptage officiel?

Tu pues l'intox à plein nez!

Anonyme a dit…

Et la meme étudiante votant trois fois contre le blocage lors du référendum bidon de jeudi dernier, ça vous dit quoi ?

Vachement démocratique non !?!

Anonyme a dit…

mtp3, j'y étais en AG cet aprèm, je ne suis pas resté longtemps voyant qu'il était très largement à moitié vide!

Bref, aucune légitimité pour une AG à moins de 500 personnes surtout si des décisions concernant l'ensemble de l'université ont été prises!

Source: SUD ETUDIANT (cf. message de Ben ces derniers jours).

Anonyme a dit…

Le référendum policier de jeudi dernier n'était pas démocratique !

La DEMOCRATIE POLICIERE de Miossec et des jaunes de l'Unef n'est pas la démocratie.

Voter sous la "protection" de 200 gardes mobiles, sous l'oeil des rambos de la BAC et d'une chiée de RG, c'est tout sauf démocratique.

MIOSSEC DEMISSION !

Le vote du blocage dès demain mardi est légitime et démocratique.

L'Assemblée Générale étudiante est souveraine.

Pas de cours demain à Paul Valéry.

Flicaille hors de nos facs !

Anonyme a dit…

Je suis allée lire ce que vous aviez écrit par terre...J'voulais juste vous féliciter d'avoir citer HITLER!
"Plus le mensonge est grand plus le peuple suit.A.Hitler"
C'est vrai qu'il a dit beaucoup de choses intelligentes cet homme!
pfff....

Anonyme a dit…

c'est quoi encore cett histoire d'AG et de vote au blocage?????
mais Y'EN A MARRE!!!! pourquoi vous voulez pas laisser les gens aller en cours en PAIX!!!!!!!!!! mais pourquoi est-ce que vous vous acharnez à croire que la petite fac de Paul va perdu à Montpellier va changer quoique ce soit??? mais vous avez pas compris que le gvt sarko S'EN FOU!!!
vous n'aurez rien tout le monde a eu ce qu'ils voulaient les cheminots les retraites etc etc mais vous vous avez eu quoi????

Anonyme a dit…

La question du blocage était-elle à l'ordre du jour de l'AG du 17 décembre 2007 ????????


Le blocage a été voté par 88 personnes. Mais de qui se moque-t-on ? Et ça vient nous faire de grandes leçons de morale sur la légitimité d'un vote ! Inadmissible...

Vous étiez déjà peu crédibles, mais là, vous touchez le fond de la connerie.

J'en arrive même à me demander si par hasard, vous ne chercheriez pas les coups....

Rapidement, ce n'est plus aux forces de l'ordre que vous vous opposerez physiquement. Mais à des milliers d'étudiants qui ne supportent plus votre dictature.

Vous employez les méthodes de ceux que vous rejetez.

Ouvrez les yeux, vous venez de perdre définitivement toute crédibilité.

Anonyme a dit…

J'y étais 3 pelés et 1 tondu ont voté le blocage... vote précedent:
- Faut il ou non fumer dans l'amphi A
- Proposition d'un réferendum symbolique
-La proposition d'une désobéissance civile-->il faut repeindre la fac
.................................................et pleins de conneries de ce genre!!! et je précis yavais quasiment personne pourtant le gars à la tribune arriver même pas à s'organiser

Anonyme a dit…

je sui allé voir le site suivant

http://www.dailymotion.com/M-C-I/video/
x3rlmz_referendum-universite-
paul-valery-m_politics

franchement je pense qu'on a pas le droit de laisser passer cela!
ou sont passer nos droit?
est ce que je peut le savoir?

Anonyme a dit…

Communiqué de la vice-présidente du Conseil d'Administration

Notre université traverse une crise difficile, liée à la loi LRU. Les personnels et les étudiants sont légitimement inquiets pour le devenir de l’université française. Or, dans notre établissement, aucune mesure n’a été prise pour faciliter les débats: l’analyse de la loi au Conseil d’administration a été tardive, la demi-journée banalisée pour les personnels est arrivée bien tard, elle aussi. Les discussions avec les étudiants n’ont pas eu lieu sur le fond.

Quant à la gestion de la crise, elle accentue les clivages et augmente les tensions dans la communauté universitaire. C’est le choix de la violence qui l’a emporté. Faute de dialogue et de concertation, les personnels et les étudiants ont été destabilisés, malmenés, divisés. Le président, seul, a décidé de demander une intervention policière sur le campus. Il a choisi, seul, de réaliser sous le contrôle policier un simulacre de consultation, qui se révèle aujourd’hui inefficace, à moins que l’on continue dans l’escalade et que les forces de l’ordre ne reviennent pour une quatrième fois sur le campus.

Il y avait une autre voie dans ces circonstances dont je ne nie pas qu’elles soient difficiles. Pourquoi ne pas avoir consulté le CEVU réuni pour les habilitations à l’heure où l’intervention policière a été décidée? Pourquoi ne pas avoir tenu le CA le lendemain? Pourquoi ne pas avoir consulté les vice-présidents et les directeurs d’UFR? Pourquoi ne pas avoir laissé la communauté universitaire s’exprimer et organiser son service d’ordre, comme cela a été proposé par certains d’entre nous? Ce qui nous divise aujourd’hui aurait pu nous rassembler et sans doute nos étudiants auraient-ils pu sortir la tête haute du conflit. Au lieu de cela, un silence pesant émaillé d’arrêtés et de communiqués contradictoires, un silence assez proche du mépris, face à une communauté qui, pourtant, se rassemblait dans un désir presque unanime de remettre en route l’institution.

Telle n’est pas ma conception de la présidence. Pour moi, elle se doit de souder la communauté universitaire, de l’entraîner vers un projet clairement défini emportant l’adhésion de chacun, parce que chacun s’y reconnaît, y voit son rôle et les bienfaits qui en ressortiront pour tous. En cas de crise, un président consulte, écoute, rassure, galvanise pour agir. Il n’oscille pas entre la peur et la violence. En cas de crise, il ménage l’issue et reste dans une position qui vise à réconcilier.

Pour moi, c’est la tête haute que je veux sortir de mes fonctions électives universitaires. Jamais on ne me fera croire que la force peut remplacer le dialogue. Jeudi, nous avons donné à nos étudiants un exemple pitoyable de démocratie, en les faisant voter sans liste d’émargement, sans accès au dépouillement et avec des cars de CRS dans le paysage proche. On me dit que beaucoup d’entre vous souhaitaient cette issue, On me dit que ma voix ne sera pas entendue. On me dit même qu’on pourrait rire de moi. Tant pis.

J’ai beaucoup travaillé pour nous tous ces derniers temps, mais sans succès. Mon travail sur le budget et les préconisations que j’ai faites pendant ces dix-huit mois, sont restés sans échos. La lettre de cadrage, prête depuis huit semaines n’a pas été examinée. Il manque un million d’euros pour monter le budget. Lors de mon élection, le président a dit me confier la gestion des personnels. Je n’y ai jamais eu accès et j’ai vu, impuissante, le gâchis des compétences se faire sous mes yeux. Je n’ai rien pu faire non plus sur le redéploiement des postes enseignants et pour la maîtrise des heures complémentaires. Je n’ai pas été entendue sur la question du resserrement de l’offre de formation. J’ai été tenue écartée de la question des locaux pourtant brûlante au moment de la révision du contrat de Projet Etat Région, à l’heure où nous allons probablement perdre Saint-Charles et la Rue l’Abbé de l’Epée, et où il est question, peut-être, quand il y aura eu une délibération du CA, si on l’en saisit, de construire encore sur le Campus. Le contrat d’établissement, pour lequel j’ai fourni un énorme travail, ne soustend pas un projet qui pourrait remobiliser nos forces. L’interU va à la dérive et se noiera dans le PRES, si jamais ce dernier arrive à émerger. Seule la recherche, semble prendre la bonne voie, avec son regroupement d’équipes, sa nouvelle structuration, ses thèmes fédérateurs qui, s’ils ne se développent pas dans le PRES, trouveront leur place dans la MSH.

Au-delà de la crise actuelle, le bilan est plus qu’inquiétant. Qui peut actuellement remettre en marche notre lourde machine? Le Président est-il en état de mobiliser la communauté universitaire? A-t-il encore sa confiance?

Quant à moi, je sais que désormais mon travail est inutile, et que cautionner par ma présence dans l’équipe de direction ce qui vient de se passer sur ce campus m’est éthiquement impossible. Vous m’avez souvent entendu soutenir que mon travail était technique, qu’il suffisait de bien étudier les dossiers pour qu’émergent des solutions consensuelles, en un mot, que dans mon travail, je dépassais le politique. Aujourd’hui le politique me rattrape. C’est pourquoi je vous remets ma démission en vous remerciant de la confiance que vous m’avez accordée pendant ces longues années. Merci aussi à tous ceux avec lesquels j’ai travaillé et qui ont instruit avec moi les dossiers que j’avais en charge, faisant la preuve de leurs compétences et de leur goût du travail. Cela ne manque pas dans notre université, et c’est là-dessus qu’il faudra s’appuyer pour que l’université Paul Valéry retrouve la place qu’elle mérite.

Marie-Paule MASSON

Anonyme a dit…

Dire à l'étudiant inculte qui écrit en bleu par terre qu'il a oublié le "R" à LIBERTE !

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